On raconte qu’au quatrième siècle de notre ère Jean de Chrysostome dû comparaitre devant Eudoxia, une reine méchante. Elle lui ordonna de renier sa foi au Christ Jésus et comme il refusa…
elle se mit à le menacer: « si tu ne rejettes pas le Christ, je te bannirai ».
Ce à quoi il répondit: « tu ne le peux pas, parce que les contrées voisines, les divers royaumes, les cimes et vallées sont miennes. »
« Bon alors je te dépouillerai de tout ce que tu possèdes », lui dit-elle.
Il répliqua: « ça non plus tu ne le peux pas. Tu ne peux pas m’enlever mes biens, car ils sont entreposés au ciel, là où la rouille et la teigne ne peuvent les ronger et où nul voleur ne peut entrer pour me les prendre ».
Furieuse elle l’avertit: « je vais t’ôter la vie »,
mais Jean de Chrysostome lui dit: « ça non plus tu ne le peux pas, car j’ai la vie éternelle ».
C’est Shakespeare qui décrivait la vie comme une ombre qui marche, comme un pauvre acteur qui après un bref passage sur scène, ne se fait plus entendre; la vie est une fable racontée par un idiot, un flot de paroles qui ne signifie rien. Manifestement, le brillant auteur ne connaissait pas le Dieu de Jean de Chrysostome ni n’en avait fait l’expérience. Tout ce que je viens d’écrire, c’est pour faire savoir que la vie se compose d’un conditionnel, elle comporte un « si ». Si tu laisses Dieu entrer dans ta vie, elle deviendra plus qu’un mouvement. Elle adviendra comme une direction, comme un plan en vue d’une gloire éternelle.
Merci pasteur Claude,
À Dieu soit la gloire, pour ce plan merveilleux qu’il a conçu pour nous en Jésus-Christ.
Je dirais que ce n’est pas tout de le laisser entrer dans notre vie, il faut aussi, chaque jour, lui laisser toute la place pour qu’il accomplisse en nous ce qu’il veut accomplir à sa gloire.
Amen !!
Merci Pasteur Claude !!