Les chrétiens ne sont pas des théoriciens, ce sont des gens pratiques d’une « religion » pratique. Wilbeforce, Lord Shaftesbury, le docteur Barnardo, au Québec, il y a l’Armée du Salut, madame Feller; ces gens ont été les pionniers de l’éducation, les prémices de l’état providence, les ambassadeurs du bien-être de l’humanité.
C’est à Quintin Hogg, un philanthrope chrétien et fondateur de l’institut polytechnique de Londres, une institution consacrée à l’éducation de jeunes garçons issus des quartiers pauvres à qui l’on a demandé ce qu’une initiative pareille pouvait coûter. Il a répondu: « la vie d’un homme ».
C’est sur une croix, sur un monticule dénudé situé en dehors des murs de Jérusalem que Jésus-Christ est mort. Toutefois, ce n’était pas la fin de l’aventure, il est ressuscité, déclarant du coup sa victoire sur la mort, exposant au monde l’impertinence de sa menace et faisant des flammes de l’enfer une vapeur innocente.
Aujourd’hui, il vit et il règne dans la puissance d’une vie qui ne finit pas. Il offre ainsi l’éternité à ceux qui lui font confiance, qui lui donnent leur vie.