Lors d’un voyage en Finlande (vers 1970), un pasteur décida de prendre le temps de se rendre en Russie, faire une visite. On lui refusa l’accès. Les prédicateurs n’ont jamais été une catégorie de visiteurs appréciée en terrain communiste.
Il y a peut-être un lien entre la fermeture des frontières aux pasteurs et la publication du dictionnaire provenant des presses de la Soviet State Publishing House, qui stipule que: « la Bible est une collection de légendes fantastiques sans fondement scientifique. Ce livre est rempli d’allusions et d’erreurs historiques, sans compter de nombreuses contradictions. Il n’y a jamais eu de méprises plus grandes que cette bévue soviétique.
De l’autre côté du spectre, la société biblique américaine a publié un dossier intitulé: la seule voie hors des ténèbres ». Une fois le dossier ouvert, vous regardiez la photographie d’une Bible.
Il y a trop de gens qui considèrent la Bible comme un musée, ses auteurs comme des momies; on les regarde et l’on évite de les entendre. La meilleure façon de connaitre un livre, c’est de prendre le temps de connaitre l’auteur. De grands monarques, comme la reine Victoria; de grands généraux, comme Mc Arthur, Eisenhower et Montgommery et de grands réformateurs, tels que Lincoln, Wilberforce et Shaftesbury ont eu une haute estime de la Bible.
On devrait vivre les préceptes qu’on y trouve , et ce, dès maintenant. Car un jour nous serons jugés par ces mêmes prescriptions.