Lors d’une visite* du très bel archipel des Philippines, un pasteur de l’endroit me rappelait qu’en 1942, au moment d’abandonner ses troupes assiégées, le général Douglas MacArthur leur avait promis: « je reviendrai ». Il a tenu promesse.
Il y a près de 2000 ans de cela, Jésus a fait la même promesse (Jn 14,3). Le docteur Joseph Parker a déclaré: « le monde ne peut pas vivre sans cette promesse ». Ce à quoi Lord Tennyson a fait allusion quand il écrit: « l’événement divin est à l’horizon et c’est vers lui que marche l’ensemble de la création ».
Voilà la solution que Dieu juge suffisante pour subvenir à notre attente d’un gouvernement parfait, de justice, d’équité, de prospérité économique, de la délivrance de cette insécurité et de la peur qui minent le monde. Milton a écrit dans Blind Mouth: « Ce sont des hommes sans discernement, sans information, et pourtant ils prennent sur eux de parler quand même. Il y a aussi ceux qui ne font qu’annoncer le malheur et les ténèbres. Mais, il y a les chrétiens qui ont l’espérance bénie, Jésus-Christ qui revient.
D’ailleurs, les premiers chrétiens se saluaient en disant « Maranatha/le Seigneur revient ». Une salutation brillamment exposée par un prédicateur africain qui a écrit: je ne m’attends pas à un trou dans la terre, mais à une fissure dans le ciel!
Mes voyages en Israël m’ont convaincu que la scène prophétique est prête pour le retour du Seigneur.
*Je rappelle que ces articles sont une traduction des textes du Rév. G.J. Williamson, Atoms of Truth, Peniel Press, (1976), Kensington Park, London.