Un garçon affamé regardait son voisin plus fortuné manger une pomme et lui demanda :
— Est-ce que tu pourrais me laisser le cœur ?
— Cette pomme n’a pas de cœur, répondit le voisin.
Nous comprenons bien ce que le petit égoïste a voulu insinuer. Pourtant, cela n’altère pas le fait que toute pomme a bel et bien un cœur, de même que toutes les roues ont un moyeu. Chaque arbre possède un cœur et chaque être humain également.
L’humain révolutionne autour de son centre d’intérêt. Il peut s’agir de lui, de son entreprise, de sa carrière,ou encore de sa famille. Toutes les vies devraient se centrer sur Jésus-Christ. En effet, celles qui ne le sont pas, sont pour ainsi dire, désaxées. Ces vies ont perdu leur symétrie, leur sens du devoir. Le résultat est une friction indue, des blessures, de la tristesse… autrement dit, des sorties de piste.
Mener une vie sans Jésus-Christ au centre est tout comme de se lancer dans l’ascension d’une montagne sans équipement, sans entrainement et sans guide. C’est vouloir explorer une caverne sans lumière. Le Seigneur n’est pas une option de vie, c’est l’impératif, le fondement d’une vie stable. Il est le rocher des âges. Nos racines sont soit en lui ou soit dans un sol friable. C’est Jésus ou le chaos!
Toute machinerie a préalablement été dessinée. Nos maisons sont construites à partir d’un plan. Nos voyages sont planifiés et nous suivons l’itinéraire établi. Alors, pourquoi la vie devrait-elle être reléguée au hasard ou à l’indifférence? La vie, plus que le mouvement, a besoin d’une direction. Jésus offre les deux; la vie en abondance et le chemin vers Dieu.
S,est tellement vraie.
Bénis sois son Nom.
AMEN.
Oui, effectivement, c’est une comparaison pertinente….