Alors que le duc de Kent, le père de la reine Victoria, était près de mourir, il exprima ses inquiétudes quant au sort de son âme. Son médecin s’aventura à vouloir calmer les souffrances intérieures de son patient en lui rappelant son rang, sa dignité, sa conduite honorable au sein du rôle que la providence lui avait attribué. Le duc l’interrompit net en disant : « rappelez-vous que si j’ai à être sauvé ce ne sera pas parce que je suis prince, mais parce que je suis pécheur! » Et cela est vrai pour tout le monde. Personne ne mérite la faveur de Dieu. Cela n’a rien à voir avec ton statut social, ton éducation ou ta piété.
La Bible le déclare : « l’Écriture a tout renfermé sous le péché… (Ga 3,22) ». Nous sommes baignés dans les eaux du péché originel et participants à cette habitude de péché. Il est écrit que le salut ne vient pas : « /… du sang (la race), ni de la chair (les habiletés), ni d’une volonté d’homme (personne ne détermine qui est sauvé, pas même le prêtre ou le pasteur). Nous sommes sauvés par grâce par le moyen de la foi et c’est un don de Dieu.
Notre seul espoir est la miséricorde de Dieu. Venez à Jésus, dites-lui :
Tel que je suis sans rien à moi
Sinon ton sang versé pour moi
Et ta voix qui m’appelle à toi
Agneau de Dieu, je viens, je viens!