Parmi les récits d’exploration de Sir Samuel Baker, il y en a un qui rapporte qu’en traversant le désert de Nubie, le régiment fut soumis à rude épreuve. En effet, n’ayant plus d’eau la détresse était grande.
Puis soudainement, ils aperçurent un lac droit devant eux, miroitant au soleil. Les hommes jubilaient et criaient : « de l’eau! de l’eau! » Mais, plus ils avançaient tout en courant de plus en plus vite, ils se rendirentcompte qu’ils étaient bernés par un mirage. Désillusionnés, épuisés, ils se sont effondrés. Les corps ont été découverts plus tard.
Les voyageurs de cette vie doivent être avertis contre ce monde et ses mirages. L’humain a soif et désir être satisfait. Mais le monde et ses plaisirs, ses ressources, ne peuvent pas combler la quête de l’homme.Toutefois, Jésus-Christ a dit : « Que celui qui a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive […] que celui qui a soif vienne… » (Apo 22,17).Les plaisirs du péché sont illusoires, n’est réel que ce que Dieu offre en Jésus. L’évidence réside dans le nombre incalculable de gens de tout temps qui ont bu à cette source de vie et qui ont témoignés leur ravissement.