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Une histoire de queue.

Tout le monde connait le fameux président américain Abraham Lincoln. On raconte qu’un jour il demanda à sa députation de répondre à sa question: « Combien de pattes aurait un mouton si on appelait la queue une patte? » La réponse fut aussi rapide que mathématique : « 5. » Le président répliqua que non. Le mouton n’aurait tout de même que 4 pattes. Appeler la queue une patte ne change pas sa fonction ni sa nature.

Le péché c’est le péché, peu importe comment vous l’appelez. On l’a nommé « une faiblesse », « une erreur », « une bévue », « un mauvais jugement », mais en réalité les résultats et la ruine que cause le péché, sont les mêmes choses. Les blessures de la vie ne sont que des ecchymoses vues de l’extérieur, mais le péché est à l’œuvre au-dedans. Le péché ne doit pas être classé par ordre de gravité. Le péché doit être pardonné ou non. Martin Luther a écrit : « Reconnaitre son péché c’est le commencement du salut. »

La possibilité de commettre le péché ne signifie pas qu’il y a nécessité de le faire, car Jésus n’a pas seulement le pouvoir de pardonner le péché, mais aussi le pouvoir d’éliminer le péché. Christ enlève la cause du péché. Rappelez-vous que le péché vous trouve (No 32,23), vous garde séparé de Dieu (Ap 21,27), que le salaire du péché c’est la mort (Ro 6,23 et Jac 1,15). Le péché n’est pas à prendre à la légère, c’est une tragédie. Alors, comme Dieu a prévu la victoire sur le péché, il l’a rendu possible en Jésus : « Le sang de Jésus nous lave de tout péché. »

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pelletier
pelletier
2 années il y a

Bel exemple….le péché demeure un péché petit ou grand….sachons le reconnaître et le remettre au pied de la croix

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